Alors que le Parlement débat de l’instauration d’un statut protecteur pour les salariés qui dénoncent des actes illicites commis sur leur lieu de travail, la Cour de cassation a estimé jeudi 30 juin que les lanceurs d’alerte doivent bénéficier d’une « immunité » vis-à-vis de leur employeur dès lors qu’ils dénoncent, « de bonne foi », des actes illicites commis sur leur lieu de ...